Tous les indicateurs portent à croire que 2017 aura été une bonne année, après un exercice 2016, où les résultats consolidés du groupe bancaire africain avaient bondi de 31%, à 39 milliards FCFA.
Accueillant le top management des filiales du Bénin, de la Côte-d’Ivoire et du Sénégal en début de semaine à l’hôtel Golden Tulip de Cotonou, le PDG du groupe, Henri-Claude Oyima, n’a pas tari d’éloges sur la bonne marche du groupe, crédité d’un ROE de 15%.
« Notre groupe se porte bien », a-t-il déclaré devant les membres des conseils d’administration de ces filiales, réunis le 27 février à Cotonou. « Toutes les trois sociétés, a-t-il poursuivi, ont performé en 2017 », se félicitant du contexte économique favorable de la zone UEMOA.
Selon les premières informations qui ont filtré du dernier exercice, le chiffre d’affaires consolidé du groupe avoisine les 3 000 milliards FCFA avec des dépôts qui dépassent les 2 500 milliards FCFA. Présent dans 11 pays (Bénin, Cameroun, Congo, en Côte-d’Ivoire, en France, au Gabon, en Guinée Equatoriale, à Madagascar, en République Démocratique du Congo, au Sénégal et à Sao Tomé-et-Principe), BGFIBank se positionne comme le premier groupe financier de la zone Cémac.