Le cycle des mouvements de grèves que connaît l’Université Omar Bongo (UOB) depuis des décennies semble être loin de trouver son épilogue. Dans le respect de ce qui paraît être désormais une véritable tradition au sein de cette établissement supérieur, les enseignants-chercheurs ont menacé, au cours d’une conférence de presse qu’ils ont animé récemment, de geler les activités très prochainement si leurs prestations ne sont pas entièrement soldées.
Le 6 février 2018, pour le Syndicat national des enseignants-chercheurs section UOB (Snec-UOB), sonnera le blocage des activités pédagogiques et académiques, si leurs prestations ne sont pas payées. En effet, voilà deux ans que les enseignants-chercheurs de l’UOB s’insurgent de ne pas avoir perçu le paiement de leurs prestations concernant l’organisation et la correction des examens ainsi que les honoraires du jury. Mais à ce jour, celles-ci n’ont pas encore été soldées. Le Snec-UOB crie désormais son ras-le-bol.... suite de l'article sur Autre presse