Dans le cadre de la redynamisation des activités politiques dans le département de Bayi-Brikolo, dans le Haut-Ogooué, Jean Bosco Ndjounga, membre du Bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG) a rencontré le 20 janvier 2018 à Libreville, les militants de son fief.
Après les élections et le congrès ayant permis de renouveler les instances du Parti démocratique gabonais(PDG), l’heure est désormais au travail sur le terrain. C’est dans ce sens que le membre du Bureau politique de la province du Haut-Ogooué, particulièrement du département de la Bayi-Brikolo (Aboumi), Jean Bosco Ndjounga a rencontré les militants pour faire le point de la situation dans son fief électoral.
Citant le Distingué camarade Ali Bongo, lors de son discours de clôture du 11e Congrès axé sur la «régénération et la revitalisation», Jean Bosco Ndjounga a indiqué que le PDG a besoin de renforcer ses fondamentaux, en introduisant de nouvelles manières de les faire vivre.
L’un de ces fondamentaux demeure le «vivre ensemble», pour mieux assurer la cohésion et l’unité nationale. En se référant à la devise du parti «Dialogue-Paix-Tolérance», il a indiqué, citant une nouvelle fois Ali Bongo qu’«en politique et au quotidien, tout est affaire de paroles et de liens. Nous devons trouver les mots qui rassemblent et qui rapprochent, que ce soit à l’intérieur du parti comme avec la population dans son entièreté».
Pour ce ressortissant de Bayi-Brikolo, seules l’union, la lucidité et la cohésion permettront d’atteindre le développement du pays, et celui de leur localité. «Je ne viens point prolonger la liste des discours d’éloignements, car l’heure est à la réunification et, à la concrétisation des actions politiques», a-t-il lancé à l’endroit de la base. Pour le membre du Bureau politique du PDG, il est nécessaire d’utiliser les énergies pour le développement et le bien- être des populations. Il n’a pas manqué de mettre en garde contre «les discours haineux, de division, de méchanceté inutile…».
Pour mieux préparer les échéances à venir, plusieurs commissions ont été mises en place, sous la supervision de la Coordination des activités politiques de Bayi-Brikolo (CAPBB).