Libreville – La Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) a inscrit 492 de ses agents aux différentes épreuves du marathon du Gabon dont la 5ème édition aura lieu les 2 et 3 décembre 2017, a annoncé l’institution de sécurité sociale dans un communiqué.
Les salariés de la CNSS et leurs enfants seront alignés dans les épreuves suivantes : La gabonaise 5 kms (195 femmes), séniors hommes 10 kms (129 inscrits) et séniors hommes 21 kms (4 compétiteurs). 79 enfants des agents de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale vont dans le même temps rivaliser de talent avec leurs congénères, respectivement sur les épreuves de 1,5 km réservée aux 6-9ans (54 enfants) et 3 kms pour les 9-16 ans (25 gosses).
Tout ce beau monde a été pris en charge un mois durant, tous les samedis, par des préparateurs physiques et des coaches sportifs. La dernière séance de préparation s’est déroulée samedi dernier au gymnase du Prytanée militaire de Libreville.
Il y avait au menu du fitness, sous la conduite du coach Aristide Bourdes et qui avait déjà dirigé la première séance du genre, samedi 11 décembre dernier. Deux randonnées (marches sportives) figuraient également au programme de préparation des marathoniens de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale. Elles ont eu lieu respectivement le 4 décembre sur le parcours Lycée National Léon MBA – siège de la CNSS et le 11 décembre sur le trajet marché du 1er campement – stade de l’Amitié à Angondjé.
Pour parer à toutes éventualités d’ordre sanitaire, il a enfin été organisé avec le concours du personnel du Centre d’action sanitaire et sociale Gisèle Ayoune de Nombakélé, des visites médicales gratuites au bénéfice de tous les inscrits.
Bien affûtés, les participants de la CNSS à la 5ème édition du marathon de Libreville attendent désormais de pieds fermes le coup d’envoi de cet événement sportif le week-end prochain dans les rues et avenues de la Capitale.
Malgré cette préparation, le DG de la CNSS le Dr Nicole Asselé ne se fait pas d’illusions. Elle fait sienne la philosophie du Baron De Coubertin « l’essentiel c’est de participer ».
« Et si par bonheur, il y a un champion qui émerge du lot parmi mes collaborateurs, ne sait-on jamais, ce ne sera que du bonus », conclut-elle.