La disparition d’André Mba Obame, en 2015, a laissé un vide sur le devant de la scène politique que ses anciens camarades de l’opposition ont bien du mal à combler.
Nous sommes mi-juillet, avenue George-V, à Paris. Jean Ping est attablé devant une tasse de thé dans le salon d’un palace. L’ancien président de la Commission de l’Union africaine est arrivé en retard, mais nul doute qu’il a préparé avec soin cette interview, qu’il a d’ailleurs longtemps hésité à accepter.... suite de l'article sur Jeune Afrique