En partenariat avec la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole de France, la Conférence Interafricaine de la prévoyance sociale (Cipres) a lancé, le 6 novembre à Libreville, un séminaire de formation sur la communication interne et externe au sein d’un organisme de prévoyance sociale.
Libreville abrite du 6 au 9 novembre, un séminaire de formation sur la communication interne et externe au sein d’un organisme de prévoyance sociale. L’événement est organisé par la Conférence Interafricaine de la prévoyance sociale (Cipres), à la demande de la Caisse nationale d’assurance maladie et garantie sociale (CNAMGS).
L’évènement regroupe 70 participants venus des pays affiliés à la Cipres : le Benin, le Burkina-Faso, le Congo, la République démocratique du Congo, la Côte-d’Ivoire, Madagascar, le Mali, le Niger le Togo, l’Union des Comores et le Gabon, pays hôte de l’évènement.
Quatre jours durant, les séminaristes vont aborder autour d’Emmanuelle Paboueta, expert de la Mutualité sociale agricole de France, les objets et les publics de la communication d’entreprise.
Ils plancheront aussi sur la communication interne : l’élaboration d’un dispositif de communication, la communication de crise et les enjeux de la communication digitale. Les séminaristes seront également édifiés sur le pilotage d’un projet de communication et les enjeux de l’évaluation des actions de communication.
Le séminaire sera ponctué par «des enseignements théoriques à base des projections, des ateliers de exercices d’application et des partages d’expérience», a déclaré Emmanuelle Paboueta. Pour le représentant du secrétaire exécutif de la Cipres, le séminaire «permettrait au terme d’échanges théoriques et pratiques développés par les formateurs, de s’imprégner des outils de la communication interne et externe». Cette rencontre va également contribuer à «améliorer la qualité des services rendus par les organismes de prévoyance sociale», a expliqué Robert Ngyebemandji.
Lançant les travaux du séminaire, le ministre en charge de la Prévoyance sociale a estimé que le gouvernement gabonais reste à l’écoute des propositions et recommandations qui sortiront des travaux de Libreville.