Les métiers de l’agriculture souffrent au Gabon, comme dans de nombreux pays, de l’absence à la fois d’une convention collective nationale et d’un cadre réglementaire des prix des produits locaux.
Cette précarité ne permet pas aux travailleurs du secteur agricole de bénéficier de rémunérations dignes et de vivre décemment du fruit de leur travail.
Pour remédier à cela, le gouvernement gabonais promet d’instaurer dans les prochains mois, un SMIG agricole, doublé d’une convention collective.... suite de l'article sur Autre presse