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Coopération : Bruxelles et Libreville réévaluent leurs relations
Publié le mardi 10 octobre 2017  |  Gabon Nouvelle Vision
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© AFP par EMMANUEL DUNAND
Les ministres de la Santé réunis à Bruxelles pour coordonner leur lutte contre Ebola
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Les deux parties sont en concertation depuis le 03 octobre 2017, en vue de garantir le respect de l'Accord de Cotonou qui définit le cadre de pré-coopération entre l'UE et des pays d'Afrique, des Caraïbes et des Pacifiques (ACP).

Le gouvernement gabonais et l'Union européenne (UE) ne se donnent pas de répit. Après leur séance de travail du 3 octobre 2017, les deux parties ont poursuivi leurs discussions samedi 7 octobre.

D'après le ministère gabonais des Affaires étrangères, qui a révélé l'information via un communiqué, la rencontre entre les deux parties s'est déroulée en présence de plusieurs membres de la Cour constitutionnelle gabonaise et a porté sur le rôle de cette dernière dans le processus électoral dans le pays.

Les négociations entre Libreville et Bruxelles portent notamment sur deux principaux volets. Le premier est politique tandis que le second concerne les aspects de coopération économique.

Dans le cadre du volet économique, l’UE appelle Libreville à respecter l'Accord de Cotonou entré en vigueur depuis le 1er avril 2003. Lequel a pour objectifs, entre autres, de rétablir les équilibres macro-économiques, de développer le secteur privé, d'améliorer les services sociaux dans les Etats d’Afrique liés par cet accord avec l’UE.

Au plan politique, le Dialogue politique intensif entre les deux parties a pour objectif de permettre de réévaluer les relations entre le Gabon et l'UE à la suite des constats et recommandations de la Mission d'observation électorale de l'UE. D'après le ministère des Affaires étrangères, à travers les sessions du DPI, les européens réaffirment leur engagement à accompagner le Gabon dans ses réformes, entre autres électorales, pour le renforcement de la gouvernance démocratique.

Outre ces trois premières rencontres, le ministère gabonais des Affaires étrangères a annoncé que deux autres sessions du DPI sont prévues d'ici la fin du mois d'octobre. Celles-ci traiteront respectivement des questions relatives aux droits de l'Homme, de la démocratisation et aux libertés fondamentales dans le pays.
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