Le Parlement européen ne lâche rien. Après une première résolution il y a quelques mois sur le Gabon, les eurodéputés ont récidivé le 14 septembre avec un nouveau texte qui appelle Libreville à cesser de « harceler, intimider et persécuter » les opposants et « à libérer immédiatement toutes les personnes encore détenues de manière illégale ». La réaction du gouvernement gabonais vient de tomber et il voit rouge. Libreville dénonce un « acharnement » et une ingérence dans ses affaires internes, tandis que l’opposition se félicite de cette prise de position.
La réaction du gouvernement gabonais est très vive. Le ministre en charge de la Communication et son porte-parole, Alain Claude Bilie By Nze a réfuté toutes ces accusations, avant de s’en prendre à une organisation qui ne respecterait pas « la souveraineté » de son pays.... suite de l'article sur RFI