Avant son intervention demain, le chef de l'Etat a pris part hier à l'ouverture des travaux de l'assemblée générale des Nations unies. Des assises marquées par les premières interventions des présidents Donald Trump et Emmanuel Macron qui ont abordé des questions ayant un rapport direct avec la paix dans le monde et les changements climatiques.
LA 72e session de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies a ouvert ses travaux hier à New York aux Etats-Unis. Le nouveau secrétaire générale de l'Onu, le Portugais Antonio Guterres, les présidents américain et français, Donald Trump et Emmanuel Macron, dont c'était pour chacun la première du genre, étaient les principales affiches de cette messe de la politique internationale.
Comme certains de ses pairs, le chef de l'Etat Gabonais, Ali Bongo Ondimba, a pris part à cette journée inaugurale. Si le numéro un gabonais devrait intervenir demain à la tribune des Nations unies, la session d'hier aura été marquée par les sorties de ses homologues français et américain.
Emmanuel Macron a axé principalement son premier discours onusien sur l'accord de Paris sur le climat. A la tribune, il a réitéré que ledit accord "ne sera pas renégocié". De son côté, le président américain, sans aborder les questions climatiques, n'aura pas fait mentir sa réputation, en prononçant un discours dur comme à son habitude.