En France, l'instruction sur le volet gabonais des affaires des « biens mal acquis » est terminée. Les juges chargés de l'enquête l'ont notifié aux parties à la fin du mois dernier. Les parties ont désormais trois mois pour intenter d'éventuels recours avant que le dossier soit transmis au parquet national financier pour ses réquisitions. Un nouveau délai d'un mois courra alors avant qu'une décision soit prise sur le renvoi de l'affaire devant un tribunal. Une affaire dans laquelle aucun membre du clan Bongo n'est mis en examen.
Seuls les dirigeants d'une présumée société-écran sont actuellement dans le collimateur de la justice française. Trois hommes soupçonnés d'avoir blanchi l'argent public détourné par l'ancien dirigeant du Gabon en achetant pour le compte d'Omar Bongo des propriétés immobilières et mobilières en France.... suite de l'article sur RFI