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Alexandre Barro Chambrier a testé sa popularité à Port-Gentil
Publié le lundi 7 aout 2017  |  Gabonactu.com
Travaux
© Autre presse par DR
Travaux du bureau politique du Rassemblement héritage et modernité (RHM)
Alexandre Barro Chambrier (milieu) et Michel Menga (gauche), le 8 novembre 2016 à Libreville.
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Alexandre Barro Chambrier, nouvelle coqueluche de la galaxie de Jean Ping a effectué samedi sa première sortie publique à Port-gentil en sa qualité de président du Rassemblement Héritage et modernité (RH&M) à l’occasion d’un meeting au stade Roger Butin.

Féfé Onanga, un des principaux soutiens de Jean Ping était l’invité vedette de ce grand rassemblement dont le but était d’implanter le parti dans la province de l’Ogooué Maritime qui a pour capitale Port-Gentil. Barro Chambrier était accompagné de plusieurs cadres du parti : Michel Menga M’Essone, Michel Boumi, Edgard Owono, Clotaire Christian Ivala et Bourobo Epembia.

Alexandre Barro Chambrier a réaffirmé son attachement à Jean Ping et tenu un discours naturellement hostile au régime d’Ali Bongo Ondimba.

Alexandre Barro Chambrier a invité les marigovéens à «rallier les colonnes du Rassemblement Héritage et modernité pour mener ensemble le combat de la résistance, jusqu’à la victoire finale», «afin de remettre notre pays le Gabon au travail et lui remettre sa dignité perdue».

«L’heure est grave, le moment n’est plus au discours, l’économie est toujours déclinante, la misère bat son plein, le risque d’implosion a atteint son paroxysme. Il est impérieux désormais de passer à l’action (…) Il nous faut stopper cette descente aux enfers et relancé toute les activités, pour notre propre bien et surtout pour l’avenir de nos enfants», a hurlé Alexandre Barro Chambrier de sa voix tremblante.

Le Rassemblement Héritage & Modernité est né suite à une démission collective de 11 députés de l’Assemblée nationale gabonaise et de leur Parti: le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) dans la foulée des préparatifs de l’élection présidentielle de 2016.

Le Mouvement avait d’abord soutenu la candidature de l’ancien président de l’Assemblée nationale Guy Nzouba Ndama. Celui-ci avait retiré sa candidature pour rejoindre Jean Ping, candidat unique de l’opposition face à Ali Bongo Ondimba.

Carl Nsitou
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