Après l'atelier de restitution en juin dernier, un Comité de pilotage constitué des experts de plusieurs ministères et des acteurs de la santé s'est réuni hier à Libreville, dans le cadre de la conduite de ce projet, qui est mené en partenariat avec la Banque mondiale.
LA mise en place d'un système d'informations en santé efficient et fiable est une nécessité qui s'impose à tout pays, quel que soit son niveau de développement. Elle est porteuse d'une bonne planification de la santé, d'une meilleure gestion des ressources et de la productivité, de la qualité des soins, et d'une meilleure prévention des problèmes de santé publique. C'est conscient de ce fait, et pour courir vers cet objectif, que le premier Comité de pilotage du projet de renforcement du Système national d'information sanitaire (SNIS) s'est tenu hier à Libreville, à l'hôtel Nomad, sous la houlette du directeur de cabinet, Fidèle Bouka, représentant le ministre de la Santé publique.
Ledit Comité réunit, pour rappel, plusieurs acteurs dont l'expert accompagnateur du projet SNIS, le Pr Cheik Oumar Bagayoko, et des membres issus d'entités diverses, à l'instar du ministère de la Santé, qui chapeaute le projet, ceux de la Communication, du Budget, de l'Intérieur ou l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (Aninf).