A la suite d’un consensus trouvé le 17 juillet entre le ministre de l’Enseignement supérieur et le Syndicat des enseignants chercheurs (Snec-UOB), la grève a été levée paralysant l’université a été levée. Cette entente consiste à payer deux semestres de correction avant la fin de l’année 2017-2018 et les honoraires professionnels à la rentrée académique 2017-2018.
Démarrée le 30 juin pour non-paiement des vacations et primes de recherche, la grève des enseignants chercheurs de l’université Omar Bongo affiliés au Syndicat national des enseignants chercheurs (Snec-UOB), a été levée le 17 juillet.
Le dénouement est dû à une solution trouvée le 17 juillet, au sortir d’une rencontre entre le ministre de l’Enseignement supérieur, Denise Mekam’ne et les membres du Syndicat national des enseignants chercheurs (Snec-UOB).
Selon un communiqué publié le 17 juillet par le trésorier du Snec-UOB, Pierre Claver Mihorto, ce consensus prévoit «le payement de deux semestres de correction avant la fin de l’année 2107-2018 et les honoraires professionnels à la rentrée académique 2017-2018».
Lors du déclanchement du mouvement de grève le 30 juin dernier, les enseignants chercheurs avaient suspendu les activités académiques pour une semaine. Dans leurs revendications, ils réclamaient notamment le paiement des vacations des années 2014-2015, 2015-2016, 2016-2017, ainsi que les primes de recherche.