Au Gabon, les élections législatives, prévues ce mois de juillet 2017, viennent, une fois de plus, d'être reportées à avril 2018 par la Cour constitutionnelle, saisie par le gouvernement. Ce n'est quasiment pas une surprise. Ce scrutin aurait pu se tenir en décembre 2016, mais le gouvernement avait évoqué un manque de budget. Cette fois, il a convaincu la Cour qu'il a besoin de temps pour appliquer les reformes électorales décidées lors du dernier dialogue politique. Comment réagit la classe politique?
Guy Nzouba Ndama a démissionné de manière fracassante de son poste de président de l'Assemblée nationale, il y a un an. Devenu allié politique de Jean Ping, il a annoncé récemment que Les démocrates, son parti, participeront à ces élections.... suite de l'article sur RFI