La signature de la convention de partenariat relative à la bourse Concorde, offerte par l’ambassade de France, enregistrera dès la rentrée universitaire prochaine sa deuxième cuvée. Sont éligibles les Gabonais détenteurs d’un DUT, d’une licence ou d’un Master.
Après la première session de la bourse ”Concorde” signée en 2011, laquelle a permis d’octroyer des bourses à près de 800 étudiants en 6 ans, la seconde a été actée le vendredi 9 juin à Libreville. La convention de renouvellement a été signée entre l’ambassade de France au Gabon, par le biais de son service de Coopération et d’action culturelle et l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG).
Il s‘agit d’une convention de partenariat dans le domaine de la formation et de l’enseignement supérieur, offrant aux étudiants gabonais qui ont validé un diplôme universitaire de technologie (DUT), une licence ou un master, la possibilité de poursuivre leurs études en France.
«Ce nouvel accord a une durée de 4 ans. Ce sont environ 90 étudiants tous les ans qui bénéficieront de ce programme qui est donc un programme totalement conjoint, qui a été élaboré entre l’ANBG et le service de coopération et d’action culturelle de l’ambassade de France et qui donne lieu à des réunions mensuelles pour la sélection des boursiers qui iront en France pour poursuivre les études supérieures en France», a indiqué Bénédicte Deschamps, la conseillère de Coopération et d’action culturelle à l’ambassade de France.
Dès la rentrée universitaire prochaine, les bourses seront déjà disponibles. Un appui apprécié par l’ANBG. «C’est le lieu de féliciter notre partenaire qui n’est plus à présenter, qui est traditionnel pour les efforts à la coopération au développement du Gabon», s’est réjoui Auguste Bivigou, le directeur général de l’ANBG.
Cette convention de partenariat a été signée par la conseillère de Coopération et d’action culturelle, Bénédicte Deschamps, le DG de l’ANBG, Auguste Bivigou, ainsi que par l’attaché de coopération universitaire et linguistique de l’ambassade de France au Gabon, Frédéric Brignot.