Où étaient l’État, ses lois et procédures, ses mécanismes de contrôle budgétaire ? L’affaire Santullo apparaît symptomatique de l’ampleur des dysfonctionnements dus à la corruption endémique qui sévit dans la haute fonction publique gabonaise.
Selon des sources convergentes au sommet de l’appareil d’État – où l’on n’évoque le dossier qu’off the record –, elle a été rendue possible par le non-respect des procédures de passation de marchés et par l’affaiblissement des contrôles.... suite de l'article sur Jeune Afrique