Depuis le 25 avril, les représentants des onze pays (Gabon, Cameroun, Centrafrique, Tchad, RD Congo, etc.) de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (Ceeac), planchent à Libreville sur la problématique des menaces des multiples catastrophes liées aux phénomènes naturels et comment s’y prendre en cas de besoin.
Evoquant le cadre de la rencontre de Libreville, Lambert-Noël Matha, le ministre gabonais de l’Intérieur, a déclaré que les mesures préventives valent mieux que celles dites curatives. Avant de poursuivre que le Gabon avait pleinement pris conscience que toutes les catastrophes qui sèment la désolation dans le monde n’arrivent pas qu’aux autres.
Dans la même veine Marie Thérèse Chantal Mfoula épouse Nganongo, secrétaire général adjoint de la Ceeac, a fait savoir que le Gabon, à l’instar des autres pays de la sous-région, comme du reste de la planète, était exposé aux menaces des multiples catastrophes liées aux phénomènes naturels tels que les glissements de terrain, les inondations et les vents violents qui causent de nombreuses destructions et épidémies.
Marie Thérèse Chantal Mfoula a néanmoins rassuré que la Ceeac, de par sa politique actuelle, est à même de mobiliser une équipe en 24h en cas de catastrophe. Pour elle, ceci est la résultante d’une synergie pluridisciplinaire sur la gestion des catastrophes.