l'heure de la commémoration de la résurrection du Christ, dimanche dernier, une partie de la capitale gabonaise et sa périphérie étaient sous les eaux.
Surprises par la flotte, après la pluie qui s'est abattue sur la ville dans la nuit de samedi à dimanche de pâques, de nombreuses personnes ont dû quitter leurs habitations. Certaines voies interurbaines sont restées impraticables, jusqu'en milieu de journée. De nombreuses pertes en matériels ont été enregistrées.
D'Awendje, au niveau de la Cité Damas, vers le B2 (annexe du ministère du Commerce), aux alentours de l'Union gabonaise de banque (UGB), au centre-ville, en passant l'axe PK7-PK8, sur la Nationale 1, l'échangeur de IAI..., Libreville se trouvait, une fois encore, sous les eaux.
Au regard de ces situations d'inondations à la moindre averse dans les villes gabonaises, notamment à Akanda et Libreville, où des solutions définitives tardent à venir, de nombreuses personnes pensent que cette montée des eaux est inhérente aux comportements inciviques des populations et au laxisme des pouvoirs publics dans la politique de la ville.