Le 1er congrès national de l'Union républicaine pour la démocratie et le progrès (URDP) s'est tenu, il y a peu, au "QG" de Jean Ping.
Cette séance de travail était l'occasion, pour les responsables de cette formation politique de l'opposition, de faire un tour d'horizon de la santé du parti, mais aussi d'entériner certaines décisions, à l'instar de celle de l'exclusion du colonel Théophile Makita Niembo qui a été remplacé par le colonel Dominique Kouerey, comme 1er vice-président.
Les raisons de cette exclusion sont relatives à sa participation au dialogue politique initié par le pouvoir, et ce contre la position officielle de l'URDP.
Ce congrès a aussi permis de mettre en place de nouvelles stratégies de conquêtes de terrain, afin de mieux implanter le parti dans le pays.
L'URDP, qui s'est toujours présentée comme un parti de l'opposition radicale, a, par la voix de son président, le Dr Jean-Marcel Malolas, réaffirmé son engagement aux côtés de Jean Ping, et réitéré son rejet du dialogue national organisé par l'exécutif.