Le président de l'Assemblée nationale, Richard-Auguste Onouviet, a longuement insisté sur cet aspect hier, à l'ouverture des travaux de la première session ordinaire de la chambre des députés.
L'ASSEMBLÉE nationale a ouvert, hier en matinée, sa première session ordinaire de l'année. Conformément à l'article 41 de la Constitution gabonaise. C'est le président de cette institution, Richard-Auguste Onouviet, qui a présidé la cérémonie y relative, dans l'hémicycle provisoire du palais Léon-Mba. C'était en présence du Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, et de plusieurs membres du gouvernement.
Le président de l'Assemblée nationale s'est, à cette occasion, principalement adressé aux membres du gouvernement de la République, en tête desquels le Premier ministre, et à l'ensemble de ses collègues députés. Il a d'entrée formulé le vœu que ce pan de l'Exécutif et le Parlement aient en permanence « le souci de produire des lois claires, simples et concises dont la lecture et la compréhension seront à la portée des concitoyens ».
Mais, c'est surtout sur la question de la dépense publique que Richard-Auguste Onouviet s'est attardé. Il a ainsi rappelé au chef du gouvernement que l'urgence est à l'assainissement des finances publiques, « gage nécessaire au maintien d'un développement économique harmonieux de notre pays ».
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