Le calendrier politique s’est accéléré mardi au Gabon, avec la fin des préparatifs du dialogue national voulu par le président Ali Bongo Ondimba après sa réélection contestée en 2016. Un événement auquel n’a pas souhaité participer le parti de son rival Jean Ping.
« Un dialogue inclusif et sans tabou. » Six mois après les violences qui ont suivi le scrutin présidentiel du 27 août, la majorité et une partie de l’opposition viennent de boucler les travaux d’un comité préparatoire « paritaire » préalable à l’organisation du dialogue national voulu par l’exécutif gabonais.
« La prochaine phase sera le lancement officiel du dialogue par le chef de l’État. Je peux dire que cela ne saurait tarder, c’est-à-dire dans une semaine tout au plus », a déclaré à l’AFP le Premier ministre, Emmanuel Issoze Ngondet, venu conclure les travaux.... suite de l'article sur Jeune Afrique