L'Agence nationale des parcs nationaux du Gabon (Anpg) annonce qu’elle est en train de ficeller un projet de collaboration avec trois instituts brtanniques : la Royal Zoological Society of Scotland, Trace Wildlife Forensics Network et l'université de Stirling, afin de développer des outils génétiques pour soutenir les actions de gestion et de protection des éléphants.
« Les marqueurs génétiques traditionnels tels que les microsatellites et l'ADN mitochondrial ont besoin d'un équipement sophistiqué qui fait défaut dans la plupart des pays accueillant des espèces impliquées dans le commerce illégal d'espèces sauvages. C'est pourquoi ont été mis au point, de nouveaux marqueurs génétiques pour les éléphants forestiers », explique l’Anpg. Elle précise que cette technique peut être mise en œuvre au Gabon grâce à l'installation d'équipements faciles à entretenir. De plus, cela a l'avantage de générer des données à long terme et permettre le partage de données entre laboratoires, sur les pays de destination, de transit et de consommation impliqués dans le commerce de l'ivoire.... suite de l'article sur Autre presse