Initié par un ensemble d'enseignants-chercheurs de l'Institut Supérieur de Technologie (IST) regroupé au sein du Laboratoire de recherche en Sciences de l'Information et de Gestion (LARSIG), le premier colloque international de Libreville ouvert le 27 mars 2014, est un cadre d'échanges qui permettra durant trois jours, de discuter du rôle de la microfinance dans le développement des pays africains.
Dénommé « Regards croisés sur le développement en Afrique » et axé sur les enjeux et perspectives de la microfinance et des partenariats pour les territoires du Sud, le premier colloque international de Libreville ouvert le 27 mars 2014 à l'auditorium du ministère des Eaux et Forêts, est un cadre d'échanges permettant aux participants d’étudier 18 problématiques liées à la microfinance et à son rôle dans le développement des pays africains.
Présentée comme une solution alternative efficace pour pallier les difficultés de financements rencontrées par les PME, les commerçants et autres artisans en Afrique, car souvent exclus du système bancaire classique, la microfinance a, depuis quelques années, fait du chemin sur le continent.
Un constat qui a amené les enseignants-chercheurs de l'Institut Supérieur de Technologie (IST) regroupés au sein du Laboratoire de recherche en Sciences de l'Information et de Gestion (LARSIG) à l'origine de ce colloque, à regarder de plus près le rôle de cet outil dans le développement des pays africains.
De ces échanges, découleront des propositions stratégiques pour un développement efficient des établissements de microfinance en Afrique. Ces propositions seront ensuite consignées dans la Revue Management international (MI).
Organisé par l'Institut Supérieur de Technologie (IST) du Gabon, ce colloque enregistre la participation de nombreux Professeurs et Maîtres de conférences des grandes universités d'Europe et d'Afrique. Il s'achève ce dimanche 30 mars 2014.