La célébration de la Noël, le week-end écoulé, n’a pas eu trop de séquelles sur les agents de l’État. En effet, l’administration publique a repris son fonctionnement quasi-normal hier, à Libreville, selon le constat fait par l’Union.
Il faut dire ce lundi étant un jour d’après-fête, l’on aurait pu s’attendre à un important ralentissement de l’activité administrative, comme cela a souvent été observé en pareilles occasions.
Cette fois-ci, la grande majorité des entités publiques (ministères de la Communication, de l’Agriculture, des Travaux publics, Hôtel de ville, etc.) a fonctionné normalement. Il en est de même des structures bancaires publiques, telles que le Trésor, qui sont restées très sollicitées. Toutefois, l’on a dénombré quelques brebis galeuses au milieu de ce décor presque normal.
L’on s’en est rendu compte dans quelques bureaux communs qui n’affichaient pas pleins - Un agent ou deux manquant à l’appel –. La raison de collègues "partis à la banque" nous a souvent été avancée pour justifier ces absences.
Autre zone d’ombre, l’arrivée tardive de nombreux travailleurs à leurs postes. Soit en moyenne à 10 heures, plutôt que 7 heures 30 minutes comme stipulé dans les textes. Un retard somme toute désormais érigé en norme dans notre administration publique.
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