L’opposant gabonais Jean Ping estime que les violences commises avant et après l’élection présidentielle du 27 août représentent un crime contre l’humanité. Le pouvoir parle de quatre morts, l’opposition beaucoup plus. Elle affirme avoir identifié au moins 22 personnes tuées par balles après l’annonce des résultats.
La Cour pénale internationale menait déjà depuis fin septembre une enquête préliminaire sur la période électorale au Gabon, elle a maintenant de nouveaux documents sur lesquels travailler. Maître Emmanuel Altit, avocat international, a remis jeudi matin au bureau de la procureure de la CPI ce qu’il présente comme des preuves de violences commises contre des civils.... suite de l'article sur RFI