Engagé depuis plusieurs mois et décidé directement par Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP Paribas, le processus de cession des parts (47 %) du groupe français dans sa filiale gabonaise, la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Gabon (Bicig), est encore loin d’être réglé : la proposition de rachat par le marocain Banque centrale populaire (BCP) a été officiellement rejetée en septembre en conseil d’administration par la partie gabonaise, qui souhaite une reprise par une banque française ou internationale.
Avec l’appui de Claude Ayo-Iguendha, patron de la Bicig depuis près de quinze ans, celle-ci a jusqu’au 14 décembre pour proposer une autre option.... suite de l'article sur Jeune Afrique