L'Institut gabonais d'appui au développement (Igad) a tenu, hier, à Libreville, autour de son président par intérim, Jean-René Nzamba Mombo, un Conseil d'administration. A l'ordre du jour, le programme d'activités bouclé le 30 septembre 2016 et les prévisions de l'exercice 2017.
SUR le premier point, l'Institut gabonais d'appui au développement (Igad) a aménagé, depuis le début de l'année en cours, 71 exploitations. 2 855 compatriotes ont été formés dans les domaines de la production vivrière, maraîchère, de l'élevage de poules pondeuses, de porcs et des ovins, la protection des cultures, ainsi que dans la gestion d'exploitation agricole et la transformation du manioc.
8 281 tonnes ont été produites (produits maraîchers, vivriers, pâtes de manioc, viandes...). La palme d'or revient à la province du Haut-Ogooué avec 1 006 tonnes, suivie de l'Ogooué-Maritime (775 t), la Nyanga (705 t), du Moyen-Ogooué (658 t), de l'Estuaire (602 t), de l'Ogooué-Lolo (593 t), du Woleu-Ntem (537 t), de la Ngounié (454 t) et de l'Ogooué-Ivindo (414 t). Le chiffre d'affaires de cette production est de l'ordre de 2, 310 milliards de francs.
S'agissant de la subvention, sur les 370 millions attendus, seuls 200 millions ont été reçus par l'Igad, de la part de Total Gabon.