Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Réélection d’Ali Bongo Ondimba : L’appel à la destitution d’Albert Ondo Ossa
Publié le samedi 26 novembre 2016  |  Gabon Review
Albert
© Autre presse par DR
Albert Ondo Ossa, ancien ministre et professeur d’Economie
Comment


Le long silence observé par le professeur Albert Ondo Ossa entre la campagne électorale d’août dernier et la crise postélectorale n’a pas pu altérer l’ambitieux choix de l’homme, de voir le peuple souverain procédé à la «destitution d’Ali Bongo Ondimba». Pour lui, il n’y a pas d’autres alternatives que cette voie.

«À mon avis, il faut que les Gabonais se ressaisissent pour défendre effectivement leur liberté, pour véritablement sauver notre pays. Il faut revenir de mon point de vue, à ce qui a été établi avant : la destitution d’Ali Bongo. Il n’y a pas d’autres alternatives», a déclaré Albert Ondo Ossa, expliquant que «ce thème destitution, nous vient de la constitution, or la constitution procède d’une volonté populaire. On a un thème, il y a un contenant, le peuple doit pouvoir lui donner un contenu».

Contrairement à ceux et celles qui reposent leur espoir d’alternance au sommet de l’Etat sur la publication du rapport de la mission d’observation électorale de l’Union européenne annoncée pour le 7 décembre prochain, l’ancien ministre de la Recherche scientifique et du Développement technologique (2008) d’Omar Bongo Ondimba, affirme ne rien attendre de ces conclusions pour établir la deuxième République.

«Très honnêtement je ne vois pas ce qu’on devrait attendre du rapport de la mission d’observation électorale de l’Union européenne, d’autant que nous avons les éléments de ce rapport, qui circulent même dans les réseaux sociaux. Je ne connais pas d’exemple ou l’Union européenne se soit prononcée à propos d’une élection qui a eu lieu et que véritablement son avis ait été déterminant pour quoi que ce soit. Ce qui veut dire que pour ma part, nous n’avons pas à attendre beaucoup de ce rapport», a-t-il tranché.
Commentaires

Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux


Comment

Comment