La Société d’Energie et d’Eaux du Gabon a signé le 14 novembre 2016 une convention avec le ministère du Travail, la formation professionnelle et de l’insertion des jeunes et l’Académie de Paris dans le but de promouvoir la politique nationale d’employabilité des jeunes.
C’est avec le souci de répondre une fois de plus à sa responsabilité sociétale en tant qu’entreprise citoyenne que la SEEG a organisé la cérémonie de signature d’une convention entre le ministère du Travail, la formation professionnelle et de l’insertion des jeunes et l’Académie de Paris dans le but d’assurer la promotion de l’employabilité des jeunes.
L’objectif poursuivi par ce partenariat entre les trois entités que sont la SEEG, le ministère du Travail, de la formation professionnelle et de l’insertion des jeunes et l’Académie de Paris vise à combler le déficit de professionnels dans les métiers de l’électricité, de l’eau et de relation clientèle.
Ainsi, ce partenariat public-privé permettra donc de satisfaire les besoins des entreprises en ressources humaines compétentes dans ces deux domaines.
Pour le directeur général du concessionnaire de l’eau et de l’électricité, «c’est une politique mise en place par la SEEG à destination des jeunes. Ces jeunes à qui nous souhaitons un franc succès, auront à la fin de la formation, la possibilité d’intégrer la SEEG parce que nous avons l’ambition de recruter des jeunes d’un haut niveau pour une garantie dans la qualité de nos services».
Rappelons que cette convention n’est pas la première signée par la SEEG. La particularité de cet accord réside dans la mise en place au centre des métiers Jean Violas, d’un système de certification conforme à la réglementation en vigueur. Cette innovation devrait déboucher sur plusieurs avantages à l’instar des formations diplômantes reconnues par l’Etat.
Aussi est-ce dans l’optique d’une alternance de la formation en entreprise des apprenants, que la société d’énergie et d’eau du Gabon s’engage à faciliter les stages dans les entreprises publiques ou privées aux apprenants du centre. Les candidats devront passer un concours pour bénéficier de ces formations.
Au terme des 12 mois de formation, ils pourront grâce à leurs acquis, être recrutés dans des entreprises ou encore se mettre à leur propre compte, chose qui cadre avec la vision des autorités gabonaises en ce qui concerne la lutte contre le chômage et le secteur de l’entrepreneuriat. «Je reste persuadé que l’expansion de ce type de partenariat est une solution parmi tant d’autres dans la lutte contre le chômage et particulièrement celui des jeunes», a indiqué Eloi Nzondo, ministère du Travail, de la formation professionnelle et de l’insertion des jeunes.