Pour la deuxième phase de la campagne de recrutement lancée en septembre dernier par Gabon Oil Company, des candidats passent des tests psychotechniques.
La campagne de recrutement lancée par la société nationale des hydrocarbures du Gabon (Gabon Oil Company), est à sa deuxième phase. Pour cette étape, 500 jeunes Gabonais divisés en deux vagues frappent à la porte de l’entreprise pétrolière. Il s’agit des meilleurs profils issus de la première phase de la campagne marquée par les entretiens individuels des candidats.
Les 250 candidats du premier groupe subissent depuis cette matinée vendredi 7 octobre des tests psychotechniques à l’hôtel Radison. Les meilleurs sélectionnés au terme de cette épreuve ont passé des tests techniques au cours de l’après-midi de vendredi. Le passage des postulants du second groupe est prévu le lendemain, samedi 8 octobre selon la même procédure.
Selon l’administrateur directeur général adjoint de GOC, Jean Koumbi Guiyedi, cette phase de la campagne concerne des jeunes diplômés ayant une expérience professionnelle d’une à quatre années en entreprise. Une trentaine de postes est à prendre au sein de GOC et de sa nouvelle filiale GOM.
«Les profils que nous recherchons sont d’abords ceux qui correspondent aux métiers du pétrole. Les autres profils ce sont les métiers qui accompagnent les métiers du pétrole dont le droit, la fiscalité, le commerce, la finances, etc. », explique-t-il.
Le lancement des tests psychotechniques a donné l’occasion de faire le point sur la participation des jeunes gabonais à l’initiative lancée le 14 septembre dernier par l’entreprise dirigée par Arnaud Engandji.
Ainsi, de source proche de la direction des ressources humaines de GOC, 2000 personnes ont pris part à cette campagne de recrutement. 600 désistements ont été enregistrés et seuls 1400 candidats ont passé des entretiens individuels. Cette étape a permis d’éliminer 1100 postulants de la course.
A travers cette démarche, Gabon Oil Company entend se positionner comme pionnier du recrutement par le mérite au sein de l’administration publique gabonaise. «Le recrutement ne sera plus du seul ressort du directeur général», affirmait Arnaud Engandji, l’administrateur directeur général de GOC.
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