Après sa nomination au poste de premier ministre chef du gouvernement , l’ancien ministre des affaires étrangère à la lourde taches de former un gouvernement ‘’d’union nationale’’ qui doit regrouper toutes les parties sociopolitique de notre pays dont l’annonce officielle se fera ce 2 Octobre 2016 .
Il ne suffira pas seulement d’y intégrer les acteurs politiques de la dernière élection présidentielle mais également la société civile et plus la jeunesse doit être représentée au premier plan car la jeunesse gabonaise soufre de la politique des dinosaures politique qui la met dans le placard alors que l’avenir d’une nation est la force de ces jeunes rempli des bonnes idées pour le développement et atteindre ‘’l’émergence’’ d’ici 2025 et rentrer dans le cadre de l’égalité des chances tant chantée pendant la campagne présidentielle par l’actuel chef de l’État Ali Bongo Ondimba.
Le gouvernent d’ISSOSET doit miser sur la santé qui à connu un boom des infrastructures durant le premier septennat du président Ali BONGO avec la construction de trois centre hospitalier universitaire dans les trois plus grande commune de l’estuaire notamment Libreville, Owendo et Akanda.
Il doit aussi miser sur le logement pour une amélioration de la politique de construction de logement qui à connu un retard considérable durant ces dernières années malgré les efforts du gouvernement pour y remédier.
On ne pourra pas parler d’un gouvernement d’union nationale si les questions liées à l’éducation ne sont pas réglées à la veille d’une rentré scolaire qui s’annonce tendu avec les revendications des grands syndicats des enseignants qui revendiquent toujours la libération de leurs confrères arrêtés par la politique à la veille de l’ouverture de la compagne présidentielle et le payement de leur primes encore impayées.
Aussi, le gouvernement doit mettre en place des reformes qui apporteront une évolution considérable où à chaque rentrée scolaire, le Gabonais ne sera plus entre des grèves qui s’éternisent et dégradent notre système scolaire depuis des années.
La route, l’électricité et l’eau doit être pour ce gouvernement les principaux défis de ce deuxième septennat qui doit, dans une mission de continuité de la politique déjà mis en place par le PSGE durant les sept dernières années qui à vu la construction de deux centrales thermiques et le bitumage de plus de 600 km de route et la construction des nouvelle installations de production et de traitement et d’acheminement de l’eau potable.
Le gouvernement dit « d’ouverture » ne doit pas seulement faire de la politique mais il doit se mettre au travail pour rattraper le retard qu’à connu les grands chantiers lancer pendant le deuxième septennat.