Décidément, la situation post-électorale du Gabon confère à plus d’un, le pouvoir de bafouer au respect des droits humain et des droits de l’homme.
Ce vendredi 9 septembre 2016, certains journalistes des médias Gabonais ce sont donc posé un nombre important des question suite à l’agression dont à été victime Jean Raoul Mbadinga, journaliste de la première chaîne nationale du Gabon, Gabontelevision.
En effet, c’est après la conférence de presse du 9 septembre, organisée par l’ancien patron de l’union africaine et, candidat malheureux au fauteuil présidentielle du 27 août dernier, à son siège des charbonnages dans le 1er arrondissement de Libreville.
C’est suite à cette rencontre d’avec les hommes et femmes des médias nationaux et internationaux que, le journaliste de gabontelevision a au sorti de la salle, subit une agression fatale dans les locaux du QG de jean Ping, par ses partisans pro-ping.
En voilà un énième acte qui devrait interpeller la communauté nationale et internationale quant à ce que le respect des droits de l’homme et du respect de la presse qui visiblement fait un travail important dans cette situation post-électorale du Gabon qui ne cesse de causer des inquiétudes dans les coeurs des Gabonais et des communautés amis.
La situation des journalistes Gabonais reste donc très préoccupante car, après brûler le siège du journal quotidien l’Union et de l’agression du journaliste Jean Raoul Mbadinga, le tour reviendra à qui ?
La sécurité des personnes et des biens doit ponctuée dans les préoccupations des autorités en place et de la communauté internationale qui en profite de la situation du Gabon pour semer l’ingérence.
Tous les articles d'actualités
.jpg)
