Le constat est alarmant, mais telle est la réalité du côté des médias français qui semblent fermement soutenir le camp Jean Ping en mettant un voile sur ses affres .
La situation du Gabon profite visiblement à la france au point de se laisser instrumentaliser par le jeux du candidat Jean Ping dans sa quête du pouvoir au péril de la vie des Gabonais.
Ainsi, les médias français qui doivent être impartial dans le traitement de l’information, donnent en effet le tonus grandissant à Jean Ping et ses membres, en mettant de côté toutes les éventualités qu’il ne respecte aucunement pas à la loi Gabonaise.
Ils serait alors préférable que les médias français en question ne soient pas à la fois, juge et parti, l’on pourrait ainsi dire que la France joue avec Jean Ping pour chasser Ali Bongo Ondimba et, prendre les commandes du Gabon pour une gestion opaque comme cela se faisait avant l’avènement d’Ali Bongo au pouvoir du Gabon en 2009.
La france devrait laisser l’Afrique aux africains et, laisser les africains eux-même régler les problèmes qui relèvent de leurs sort tout en respectant les lois qui régissent les différents états du continent africain.
La Lybie, la Côte d’Ivoire, le Burkina et bien d’autres pays africain en sont un exemple patent de l’ingérence de la france qui brille avec le triptyque «Diviser, imposer et gérer», il faut bien alors que la France cesse son instrumentalisation du peuple africain en exploitant celui-ci pour être toujours dans les jalons de l’Afrique.
Les médias français se doivent alors de mettre en application la déontologie journalistique en disant ce qu’ils voient et donc, les faits rien que les faits, en évitant de se prononcer dans la publication des chiffres et de certaines informations sans pourtant effectuer des recherches approfondie.
La situation franceafrique, les africains se doivent de mettre un terme à l’importation traîtrise qui vise a donné à ladite France la première place dans les affaires africaines mais également, dans la gestions des ressources du sous-sol des terres africaines.
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