Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Gabon : les leçons du scrutin
Publié le jeudi 8 septembre 2016  |  Jeune Afrique
Gabon
© Autre presse par DR
Gabon les candidats à la présidentielle 2016 : Ali Bongo Ondimba et Jean Ping.
Comment


La division du parti au pouvoir et les attaques sur l’origine d’Ali Bongo Ondimba auraient pu le mener à la défaite. Elles ont surtout favorisé un retour du vote identitaire.

Un long chemin semé d’embûches

Déterminés à obtenir la disqualification d’Ali Bongo Ondimba par la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) et la Cour constitutionnelle, ses adversaires ne lui ont rien épargné. Sa filiation a été mise en doute, avec la troublante caution d’une partie de sa famille, une procédure a même été engagée devant un tribunal de Nantes, en France, pour déterminer la véracité de son acte de naissance… Ces attaques d’une rare violence verbale ont définitivement été mises en échec après la confirmation de l’authenticité dudit acte et la validation de son dossier par la Cenap.

« Depuis 2013, nous sommes revenus à la politique politicienne », avait reconnu ABO dans une interview à JA. Paradoxalement, l’affaiblissement de l’opposition à la suite des décès de Pierre Mamboudou (2011) et d’André Mba Obame (2015) a créé les conditions d’une crise au sein du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir). Le refus obstiné d’ABO de céder à ceux qui souhaitaient conserver leurs privilèges ont révulsé les anciens apparatchiks. L’un après l’autre, les barons ont démissionné du parti avant de passer à l’opposition : René Ndemezo’o Obiang, Jean-François Ntoutoume Emane, Jean Ping, Guy Nzouba-Ndama, Jacques Adiahénot et Léon-Paul Ngoulakia
... suite de l'article sur Jeune Afrique

Commentaires

Sondage
Nous suivre
Nos réseaux sociaux


Comment

Comment