Ali Bongo mène la charge tous azimuts pour défendre sa réélection controversée à la tête du Gabon. Invité sur RTL et Europe 1 mercredi 7 septembre, le président sortant a répondu à l’ONU, à l’Union européenne et au premier ministre français, Manuel Valls, qui appellent à un recomptage des voix, qu’il n’y en aurait un qu’en cas de saisine de la Cour constitutionnelle.
« Nous avons une loi qui a été votée en 1996 et qui régit tout le processus électoral, je ne peux pas, moi, violer la loi. En ce qui concerne le recomptage, cela est prévu dans le cadre de la loi et se fait au niveau de la Cour constitutionnelle. »
Les résultats officiels publiés mercredi ont donné une très courte victoire à M. Bongo, de quelque 5 000 voix, le reconduisant pour un nouveau mandat de sept ans.... suite de l'article sur LeMonde.fr