Proches sans nouvelle d'un parent, internet toujours suspendu, télévisions indépendantes mises hors d'usage... Le Gabon vivait dimanche en manque d'informations depuis les violences qui ont suivi la proclamation mercredi de la réélection du président Ali Bongo.
Au total, ces violences ont fait sept morts dans tout le Gabon, dont cinq civils à Libreville, un civil à Port-Gentil, la capitale économique, et un policier à Oyem dans le nord, selon un décompte de l’AFP.
Mais des rumeurs invérifiables d’un bilan plus lourd, notamment à Port-Gentil, circulent dans le pays, toujours privé dimanche de connexion internet.... suite de l'article sur Jeune Afrique