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Au Gabon, les entreprises françaises sur le qui-vive
Publié le samedi 3 septembre 2016  |  LeMonde.fr
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© Autre presse par DR
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Après la première élection d’Ali Bongo Ondimba en 2009, près de la moitié de Port-Gentil, la capitale économique du Gabon, avait été mise à sac. Et, dans la colère des pillards et des manifestants, tout ce qui symbolisait les relations entre la France et le régime Bongo, avait été ciblé. Le consulat de France mais aussi des installations de Schlumberger et Total-Gabon (une salle polyvalente, des stations-service…) avaient été visés. Port-Gentil avait à l’époque voté massivement pour l’opposant Pierre Mamboundou à la présidentielle et n’avait pas admis l’élection « d’Ali, le tricheur », comme on pouvait le lire sur les murs de la ville.

Sept ans plus tard, Port-Gentil n’a pas accepté non plus la victoire, mercredi 30 août, d’Ali Bongo à cette réélection contestée par son rival, Jean Ping. Des heurts violents ont éclaté dès l’annonce des résultats, faisant cinq morts à Libreville et provoquant l’arrestation de plus d’un millier de personnes.
« Pillages à l’aveugle »

« La consigne de l’ambassade de France est de ne pas sortir de son domicile, explique Frédéric de Lacoste, directeur général de la société SMT, concessionnaire de Volvo Construction équipement au Gabon. Il y a une forte inquiétude au sein de la communauté française, parce qu’on ne sait pas combien de temps va durer cette crise. Ces derniers jours, des commerces libanais, chinois et français ont été attaqués, ce qui tend à montrer que les pillages sont réalisés à l’aveugle. »
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