Si les socialistes et les écologistes français n'ont pas manqué de s'exprimer après la réélection contestée d'Ali Bongo Ondimba, les ténors de la droite française commencent seulement à prendre position.
À commencer par Alain Juppé, principal challenger de Nicolas Sarkozy pour la primaire des Républicains (LR, ex-UMP) en vue de l’élection présidentielle française de 2017. Dans un communiqué, le maire de Bordeaux a fait part vendredi 2 septembre de sa « vive préoccupation » et a appelé à « la cessation des violences ».
Alain Juppé n’en est pas resté là. Comme la France, l’Union européenne, les États-Unis et l’ONU, il a appuyé l’une des principales revendications de l’opposition gabonaise, à savoir le recompte des voix, bureau de vote par bureau de vote.... suite de l'article sur Jeune Afrique