Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Violences post-électorales au Gabon: 26 personnalités retenues au QG de Ping
Publié le jeudi 1 septembre 2016  |  AFP
Gabon
© AFP par MARCO LONGARI
Gabon : affrontements à Libreville après l’annonce de la victoire d’Ali Bongo
Mercredi 31 Aout 2016. Libreville
Comment


La situation au Gabon et dans sa capitale Libreville reste particulièrement volatile ce jeudi soir 1er septembre. Côté politique, c'est le statu quo : le camp Bongo, proclamé vainqueur, refuse un recomptage des voix bureau par bureau, comme le demande avec insistance la communauté internationale. Côté opposition, on ne décolère pas. Les affrontements qui se succèdent ont fait plusieurs morts et des personnalités proches de Jean Ping sont toujours aux mains des forces de l'ordre dans son QG. Les réseaux sociaux sont partiellement bloqués. Dans une brève allocution cet après-midi, le président Bongo a rejeté la responsabilité de la situation sur l'opposition. La nuit dernière, un assaut des forces de sécurité a été donné sur le QG de Jean Ping. Voici le fil des principaux évènements.

Article mis à jour régulièrement (cliquez ici pour rafraîchir)

Ce qu'il faut savoir :

► Au lendemain de la réélection contestée d'Ali Bongo Ondimba avec 49,80 % des voix, plusieurs émeutes et pillages ont éclaté dans la capitale du Gabon, Libreville. L'Assemblée nationale a également été incendiée. Dans la nuit de mercredi à jeudi, le QG de Jean Ping a été pris d'assaut par les forces de sécurité.

► Selon les dernières informations officielles (ministre de l'Intérieur gabonais), trois personnes sont décédées depuis mercredi soir.

► L'opposition gabonaise affirme que six de ses leaders ont été arrêtés, dont René Ndemezo'o Obiang, directeur de campagne de Jean Ping. Elle appelle ses partisans à manifester en fin de journée.

► Internet et les réseaux sociaux fonctionnent difficilement. Depuis le 28 août, la capacité de la bande passante a été réduite. Par ailleurs, près d'un millier d'interpellations ont eu lieu dans le pays depuis mercredi soir, selon les autorités.
... suite de l'article sur AFP

Commentaires


Comment