Le Gabon s’est réveillé, mercredi 31 août, sans connaître le nom de son président après une vaine nuit de réunion à la commission électorale qui n’a pas départagé le chef de l’Etat sortant, Ali Bongo Ondimba, et son rival, Jean Ping.
« Pourquoi s’amuse-t-on à se faire peur ? Il faut qu’on en finisse avec le suspense », conseille, mercredi, le journal national L’Union, proche du pouvoir. Le quotidien reproduit en « une » l’appel à la retenue lancé la veille par le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, à MM. Bongo et Ping, qui revendiquent tous deux la victoire.... suite de l'article sur Autre presse