EN dehors de quelques détails sans importance majeure, l’organisation de l’élection présidentielle dans la province du Woleu-Ntem est à 95% au point. Ce satisfecit du président de la commission provinciale électorale pour le Woleu-Ntem, Daniel Loye, repose sur la somme de travail (pratique et théorique) réalisée depuis la prise de fonction de l’ensemble de ses équipes le 27 juillet 2016.
Sur une cartographie disposant de deux communes (Oyem et Bitam) et cinq départements (Woleu, Haut-Como et Haut-Ntem, Ntem et Okano), ces différentes commissions ont travaillé d’arrache-pied pour que les préparatifs en vue de l’élection présidentielle du 27 août prochain ne souffrent d’aucun accroc majeur.
« Nous avons fait en sorte que les différentes commissions soient autonomes. Mais nous exerçons la supervision générale qui est faite d’interventions opportunes diverses. Le tout dans un réel souci de garantir au finish leur meilleur fonctionnement », rassure le président Daniel Loye. Seul bémol à cet enthousiasme : l’absence jusque-là des superviseurs de l’opposition qui tardent à se signaler. Là, le président provincial Cénap est formel : « Nous devons avoir tout le monde pour dresser les listes et établir leurs aptitudes. Cependant, il y a une date butoir à tout cela, qu’ils le sachent. »