Il sera très difficile, voire impossible pour la femme gabonaise de voter pour un candidat de l’opposition gabonaise. Pour cause, gardienne du temple, la femme gabonaise est le socle sur lequel repose notre pays tout entier. La principale fortification de la société gabonaise contre la violence, la division et l’ethnisme, la guerre, l’effusion de sang, et la haine. Découvrez les 2 valeurs qui sont le fondement de cette inimitié entre l’opposition de notre pays et la femme gabonaise.
Une mère ne veut que la paix et la sécurité pour ses enfants
Chaque mère gabonaise ne veut que la paix et la sécurité pour ses enfants, le fruit de ses entrailles, c’est-à-dire la jeunesse gabonaise qui doit évoluer dans un environnement débarrassé de toute violence, de toute haine et de tout comportement subversif. Aucune mère ne veut voir son enfant cultiver la haine et le mépris de l’autre. Ce qui est en contradiction avec la promotion actuelle de la haine et de la guerre de l’opposition. C’est pourquoi à chaque appel de l’opposition, la femme gabonaise ne se mobilise pas. Elle reste chez elle et s’inquiète du sort de ses enfants qui y vont. Pour beaucoup, voir leurs enfants dans les meetings de l’opposition est une source d’angoisse et d’inquiétude. Ainsi donc pour la femme gabonaise, la seule personne qui rassure les mères de familles quant à l’avenir en confiance de leurs enfants, c’est Ali Bongo qui ne cesse d’appeler à une démocratie apaisée et à la préservation de la paix, de la sécurité et de l’unité nationale.
Une épouse ne veut que le bonheur et prospérité pour sa famille:
La première préoccupation d’une femme dans son rôle d’épouse, c’est de voir sa famille vivre dans le bonheur et la prospérité. Satisfaire les besoins primaires de santé, d’éducation, de chômage et de revenu. Pour une épouse, tout doit contribuer à cela, même la politique. Et cela doit passer par un débat politique basé sur les projets de société orientés vers ces indicateurs de prospérité. Mais la femme gabonaise en général et l’épouse gabonaise en particulier ne sent pas que l’opposition s’intéresser à ces questions vitales pour elle. La seule personne dont le projet et les actions en parlent, c’est Ali Bongo Ondimba. Cet homme a montré à plusieurs reprises que la femme et la famille sont sacrées et qu’il faut les protéger. Les protéger contre le chômage à travers le programme Graine, Nkok, un Jeune = un Métier où travaillent plusieurs enfants et maris gabonais, contre les problèmes de santé à travers la CNAMGS et les nouveaux hôpitaux, contre les coûts élevés de formation de leurs enfants à travers l’augmentation de la bourse, et les partenariats public/privé, contre la spoliation de la veuve et de l’orphelin à travers la Fondation Sylvia Bongo Ondimba. Ces raisons suffisent à la femme gabonaise de soutenir celui qui s’occupe de leurs problèmes au quotidien et sont la source de la guerre déclarée à l’opposition gabonaise actuelle.
