Le peuple gabonais est épris de paix. C’est un prototype en Afrique et dans la sous-région. Le peuple gabonais est très vigilant face à la fourberie, à la duplicité et à la diabolisation. Il repousse avec dédain les propos calomnieux, racistes, xénophobes, tribalistes et anti-républicains. Essayer de tromper les Gabonais, c’est avoir la prétention de vider l’océan Atlantique avec une fourchette. Chantal Myboto Gondjout s’y est essayée. Elle l’a appris à ses dépens. Ayant échoué de faire main basse sur l’argent d’Omar Bongo Ondimba avec qui elle a eu une fille, elle a lancé la polémique autour l’état-civil du Président Ali Bongo Ondimba. Pendant des mois, elle a organisé des meetings, des causeries et des manifestations pour distiller son venin aux Gabonais.
Depuis le début de cette fable de Mikouagna, le peuple gabonais demeure serein et vaque à ses occupations. Elle criait partout telle une forcenée : ” Ali Bongo sait que je sais… “. Elle est même allée jusqu’à affirmer qu’elle a un document prouvant l’adoption du fils d’Omar Bongo Ondimba. Jamais elle n’a apporté les preuves de ses élucubrations. Résultat: la CENAP a validé la candidature du Président-candidat. Les arguments médiocres et ridicules de Jean Ping et Guy Nzouba Ndama ont conduit la Cour constitutionnelle à rejeter leurs recours et valider par la même occasion la candidature du fils de Patience Dabany. La tournée républicaine de ce dernier a un succès retentissant. Elle lui a permis de laver toute la boue qu’on lui a jeté dessus.
Le silence de Chantal Myboto Gondjout est assourdissant. Comment arrive-t-elle à se taire alors qu’elle “sait tout”? Quoiqu’il en soit, les Gabonais, eux, l’ont toujours su. Ils savaient que Mikouagna ne savait rien. Elle sait que les Gabonais ont toujours su qu’elle était une menteuse. Comme dit le proverbe: “Quelque soit la durée de la nuit, le soleil apparaîtra”.