La 21e conférence internationale sur le Sida s’est tenue du 18 au 22 juillet à Durban, en Afrique du sud. L’évènement mettait l’accent sur les moyens à mettre en œuvre à travers la planète pour lutter contre le VIH-Sida. Pour la circonstance, Arielle-T, l’artiste gabonaiseétait de la partie.
C’est parce que « le monde a besoin de prendre des mesures urgentes et immédiates pour combler l’écart de prévention » contre les maladies infectieuses comme le VIH-Sida que ONE, la conférence internationale sur le sida (IAC) existe. Pour la 21e édition, celle de 2016, les priorités étaient axées sur les moyens à mettre en œuvre pour prévenir la propagation du VIH/Sida notamment chez les femmes et les filles.
La célébration de 2016 a lieu à Durban, en Afrique du sud du 18 au 22 juillet. Pour la circonstance, de nombreuses diplomates des Nations unis ainsi que des artistes féminines originaires d’Afrique et d’autres horizons ont prêté leur voix à la cérémonie d’ouverture parmi elles : Arielle T, la chanteuse gabonaise qui a pris part à plusieurs activités connexes à la conférence.
Combat
Selon les Nations unies, les femmes en Afrique sub-saharienne sont deux fois plus susceptibles que les hommes de contracter le VIH-Sida. La présence de la chanteuse gabonaise Arielle T répond à un souci de ralliement de la cause mondiale en faveur de la lutte contre le sida. L’ONE plaide également pour l’autonomisation des femmes et des filles et la lutte contre l’extrême pauvreté et les maladies évitables.
Pour que la planète y parvienne, la communauté internationale a un rôle imminent important à jouer dans ce combat. Les Nations unies invitent par exemple, les dirigeants internationaux à contribuer à hauteur de 15% des budgets nationaux au fonds mondial, qui a un objectif de reconstitution de 13 milliards dollars cette année.