Après la gifle d’Ali Bongo samedi dernier : ses opposants endiablés, groggys et sonnés ! #aLibreville

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Après la gifle d’Ali Bongo samedi dernier : ses opposants endiablés, groggys et sonnés !

Publié le mardi 12 juillet 2016 | Times Gabon

© Autre presse par DR
Présidentielle 2016: Ali Bongo Ondimba dépose son dossier de candidature
Samedi 10 juillet 2016. Libreville. Le président sortant Ali Bongo Ondimba a procédé au dépôt du dossier de candidature comme prévu, accompagné de plusieurs personnalités parmi les militants, membres de la majorité républicaine et sociale pour l’émergence et des membres de sa famille.

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Activités des partis politiques

ls n’en reviennent pas toujours. Les fameux opposants radicaux maternés au lait du Bongoïsme et devenus ce qu’ils sont aujourd’hui, grâce aux prébendes tirés de leur militantisme intéressé au PDG. Comme après un match de boxe, plutôt, nous dirons, comme les Français qui se sont réveillés ce lundi matin, avec la gueule de bois après leur déroute à la finale de l’Euro de football organisé sur leurs terres, mais remporté par le Portugal face à la France (1-0). Obligés (les opposants) qu’ils sont désormais à trouver des stratégies de la politique de la terre brûlée qu’ils ne cessent de brandir.

Le dépôt de la candidature et grandeur nature du candidat du PDG, Ali Bongo Ondimba, le samedi 9 juillet 2016, à la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), et sous les vivats de plus de 50 000 personnes rassemblées à la Place de la Paix (Rond-point de la Démocratie), a fini par convaincre qu’une certaine opposition et une société civile (la plus bête du monde ?), ravagées par une soif inextinguible d’en découdre, n’étaient constituées que des brasseurs d’air.

Après avoir eu recours à deux reliques de la barbouzerie de la Françafrique (Pierre Péan et Robert Bourgi), pour lesquels ils espéraient être ceux qui allaient porter l’estocade, en dépit des mensonges éhontés qu’ils ont vomis auprès de ces deux personnages infects, les opposants d’Ali Bongo Ondimba croyaient que la mayonnaise allait prendre à Libreville. Ce, après une virée à guignolesque à la CENAP et à la Cour constitutionnelle, où ces pieds nickelés espéraient obtenir l’impensable. Mais, le peureux (Oye Mba), le sournois (Ping), le traître (Nzouba Ndama), la niveleuse (Maganga Moussavou), la vache qui rit (Ndong Sima) et les ostrogoths de leur société civile. Ils ont croassé, barri, vrombi, roucoulé, jacassé et promis aux naïfs qui les écoutent et les suivent, qu’ils allaient barrer la route à l’actuel chef de l’Etat.

Malheureusement pour eux, les illusions ont fondu comme de la neige au soleil. Ils diront tout ce qui leur passe à la tête, ils n’ont qu’à attendre le 27 août prochain, pour venir montrer de quoi ils sont capables. Ce ne sont pas les appels à l’insurrection populaire, les menaces, la haine, ou les messages subliminaux envoyés aux éléments des forces de sécurité et de défense pour les aider à faire on ne sait quoi, qui changeront quelque chose. D’ailleurs, ceux des malotrus qui se sont essayés le samedi 9/7, en tentant de perturber le meeting à la Place de la Paix en ont eu pour leur compte. Force est restée à la loi. Les rigolos des mêmes écailles que Yama, Libama et consorts savent que leur place n’est pas parmi les gens civilisés.

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