La plainte d’Ali Bongo contre le journaliste-écrivain français, auteur du livre «Nouvelles Affaires africaines – Mensonges et Pillage au Gabon», pour diffamation, risque de ne pas aboutir.
La plainte du président de la République contre Pierre Péan pour «atteinte à la vie privée» pourrait aboutir, dans les prochaines semaines, à un non-lieu. Selon l’hebdomadaire français Marianne, le 8 juillet courant, la juge Nathalie Turquey du tribunal de Paris a indiqué au journaliste-écrivain français qu’elle ne le mettait pas en examen et envisageait un non-lieu.
Intervenant moins de 48 heures après la décision du tribunal correctionnel de Libreville de se dessaisir des deux affaires initiées par Ali Bongo et le gouvernement contre Jean Ping pour diffamation, cette annonce vient doucher les espoirs de Claude Dumont-Beghi, qui avait récemment manifesté son assurance quant à l’aboutissement de l’affaire opposant son client à Pierre Péan.
Pour l’instant, la dernière plainte du président de la République reste celle intentée contre Chantal Myboto Gondjout, en attendant la suite de l’instruction de la plainte déposée en mars par Onaida Maisha Bongo Ondimba avec constitution de partie civile concernant l’acte de naissance de son demi-frère, Ali Bongo.
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