Contrairement à que Gabonreview a écrit dans l’article intitulé «Affaire Sinohydro : Pascaline Mferri Bongo et Franck Ping sous le coup de poursuites judiciaires ?», le ministre de la Justice n’a pas mis en branle l’appareil judiciaire en vue d’une inculpation de Jean Ping.
À la faveur d’une rencontre, le 29 juin dernier à Libreville, entre le gouvernement et la délégation de la Commission de l’Union européenne, Séraphin Moundounga avait plutôt laissé entendre que le gouvernement envisageait de saisir la justice en vue d’une information judiciaire visant à examiner si l’ancien président de la Commission de l’Union africaine mérite une poursuite judiciaire au sujet du scandale de corruption à grande échelle révélé par le journal en ligne français Mediapart, sur l’affaire Sinohydro.
La rédaction de Gabonreview présente ses excuses pour les plausibles désagréments qu’aurait pu causer la méprise du rédacteur de l’article sus cité.