La route a été l’un des secteurs les plus privilégiés et l’un des grands acquis du Gabon ces 7 dernières années. A la fin de ce premier septennat de l’ère Ali Bongo Ondimba à la tête du Gabon, c’est au total 672 kilomètres qui ont déjà été bitumés et 770 qui sont en cours de bitumage. Ce qui donne un réseau routier national de 1572 km de route bitumés contre moins de 900 en 2009. En ce qui concerne les infrastructures connexes à la route, le Gabon peut aussi en être fier, car le pays a construit la majorité des ponts nécessaires, dont certains étaient attendus depuis les indépendances (le pont sur la Banio par exemple). Le Gabon a à ce jour les 3e et 4e plus longs ponts en Afrique.
En effet, les prouesses du Gabon dans la construction des infrastructures en général et des routes et ponts en particulier ces 7 dernières années sont l’œuvre d’une conjugaison harmonieuse de la vision politique contenue dans le PSGE et de la volonté d’un homme: Ali Bongo Ondimba. Car en effet, les 6 principales routes nationales du Gabon ont été touchées par cette transformation de notre réseau routier et toutes les provinces, même les plus enclavées, en ont été bénéficiaires.
Ainsi, plusieurs axes routiers ont été et sont concernés par ce vaste chantier national à ciel ouvert. C’est l’exemple de l’axe Ndjolé-Médoumane, long de 46 kilomètres dans la nationale 2 ; l’axe Koulamoutou-Popa ; l’axe Lalara-Koumameyong 63 kilomètres et Koumameyong-Ovan 51 kilomètres ; l’axe Ndendé-Fougamou ; Mayumba- Ndendé environ 200 kilomètres et bien d’autres. Nous n’oublierons pas ce qui représente aujourd’hui le plus grand chantier en la matière, la route Port-Gentil-Omboué, ponctuée de deux ponts dont l’un sur le fleuve Ogooué (4707 mètres) et l’autre sur la lagune Nkomi (4577mètres). Respectivement les 3e et 4e plus longs ponts sur le continent africain.
Avec ces nombreuses infrastructures routières, le Gabon peut être sûr d’être un pays interconnecté d’ici à 2020, avec un réseau routier national de 2.115 kilomètres de route bitumés. Cette route permettra non seulement de renforcer l’unité nationale, de réduire les coûts de transport, de promouvoir l’investissement public et privé mais aussi d’accélérer la croissance en général.