Les résultats des efforts consentis par les pouvoirs publics pour la construction des infrastructures crèvent le regard. Au cours du septennat qui s’achève, la route a vraiment avancé, et à un rythme soutenu.
En moins de sept ans, pas moins de 634 Km de routes ont été bitumés. Et si on prend en compte les projets en cours, c’est un véritable bond quantitatif et qualitatif connu que la route a effectué au Gabon.
Le Gabon est en chantier, particulièrement dans le secteur des infrastructures routières. Ça se voit que le gouvernement a hâte de rattraper le retard pris depuis plus de quatre décennies. Et la route avance, aussi bien à Libreville que dans les capitales provinciales. Les efforts des autorités pour doter le pays d’infrastructures routières de qualité sont perceptibles.
La route, facteur économique incontournable dans la stratégie de développement du Gabon, est devenue un enjeu politique et social. Dans la mise en œuvre de son projet de société, c’est l’un des chantiers qui donnent satisfaction à Ali Bongo Ondimba. Le chef de l’Etat, armé de conviction, lance dès 2010 ce vaste chantier avec pour objectif de désenclaver le Gabon et de développer les infrastructures de transport. Toutes les provinces sont concernées malgré le contexte économique difficile.
A son arrivée au pouvoir en 2009, Ali Bongo a trouvé 1055 km de routes bitumées et s’est donné l’objectif d’atteindre 3663 km à la fin de son premier septennat qui supportera 80% du trafic national des biens et des personnes. Il n’est pas loin du compte. En sept ans, pas moins de neuf tronçons routiers d’une longueur totale de 532 km ont été réalisés, une douzaine de projets en cours de réalisation d’une longueur totale de 728,64 km.